Meta est accusé de faciliter les trafiquants d’êtres humains et la pédocriminalité via les réseaux sociaux

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FACEBOOK ACCUSÉ D'AVOIR "FERMÉ LES YEUX" SUR LE TRAFIC D'ÊTRES HUMAINS ET LA PÉDOCRIMINALITÉ

Meta est accusé de faciliter les trafiquants d’êtres humains.

Selon l’Agence France-Presse, des fonds de pension et d’investissement ont porté plainte contre Meta pour avoir fermé les yeux sur les trafiquants d’êtres humains et la pédopornographie sur ses réseaux sociaux.

Selon la plainte déposée lundi devant un tribunal californien, Meta a aidé, encouragé et aidé des criminels responsables de proxénétisme, de trafic d’êtres humains et de pédopornographie qui se sont déroulés à grande échelle sur les plateformes du groupe basé en Californie. Loi du Delaware sur les questions commerciales.
Les avocats des fonds qui détiennent des actions de Meta disent que le conseil d’administration a fermé les yeux alors qu’il était conscient du phénomène grandissant.

Ils affirment que les trafiquants utilisent les plateformes pour attirer, recruter et exploiter des victimes, qui sont des enfants et des adultes, dont la vie est à jamais ruinée.
Meta interdit explicitement l’exploitation des personnes et l’exploitation sexuelle des enfants, selon Andy Stone, porte-parole du géant des médias sociaux.

Ce type d’activité n’est pas reflété dans les allégations de cette plainte.

Le Centre national pour les enfants disparus et exploités est l’une des organisations avec lesquelles nous travaillons en étroite collaboration pour empêcher les gens d’exploiter des êtres humains.

Selon la plainte, le conseil d’administration de Meta n’a pas expliqué comment il tente d’éradiquer le problème, et la seule conclusion logique est que le conseil d’administration a consciemment décidé de permettre aux plateformes Meta de promouvoir et de faciliter ce type de trafic.

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Le mental des enfants et des adolescents est l’un des domaines dans lesquels l’entreprise fait face à des poursuites judiciaires.

Les politiciens américains et les associations de protection de l’enfance accusent les applications de provoquer des addictions, des problèmes d’estime de soi ou de faciliter le harcèlement en ligne d’être particulièrement populaires auprès des jeunes.

À l’automne 2021, un ancien employé de Facebook a révélé des documents internes qui montraient que les responsables de la plateforme étaient conscients de certains risques.

Les ONG pensent que Meta fait passer les profits avant les utilisateurs.